LES OBJETS IMPOSSIBLES

Des objets impossibles partout sur Terre

Partout sur la planète Terre on trouve des objets très anciens et très mystérieux qui, suivant nos conceptions traditionnelles de l'évolution des civilisations, ne devraient pas exister. Ces objets impossibles sont généralement rejetés par la science officielle car ils sont gênants. En effet, par leur existence ils remettent en cause nos conceptions traditionnelles et dogmatiques de l'évolution des civilisations.

Parmi les multiples objets impossibles que l'on trouve chaque année en creusant de plus en plus profondément dans les mines, en faisant des fouilles, ou en déchiffrant des documents anciens, il existe un groupe d'objets étranges qui remet en cause nos connaissances cartographiques. Il s'agit des portulans et particulièrement de ceux de Piri Reis.

Selon toute vraisemblance, les cartes originales entreposées à la Grande Bibliothèque d'Alexandrie ont été copiées, compilées et sans doute transférées dans les cités les plus rayonnantes comme Constantinople qui fut reprise en 1204 par les grands navigateurs Vénitiens, puis diffusées d'une manière très confidentielle. Ces portulans avaient non seulement une très grande valeur marchande mais ils étaient également du plus haut intérêt sur le plan militaire et commercial.

Tous ces éléments semblent donc bien démontrer qu'il a existé, il y a au moins 6 000 ans, une civilisation inconnue possédant : Une connaissance des mathématiques extrêmement sophistiquée (Trigonométrie sphérique, Translation trigonométrique, Projection cordiforme, Conversion de coordonnées polaires et rectangulaires, et une parfaite connaissance de la rotondité de la Terre).

Des instruments de mesure très précis permettant de mesurer notamment la longitude avec une finesse atteinte seulement à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle. Des moyens de navigation qui nous sont inconnus, des navires robustes, et même certains experts affirment que la précision des tracés n'a pu être obtenue qu'à l'aide de relevés aériens... C'est seulement à cette époque que l'homme serait sorti de ses grottes et aurait commencé à se « civiliser » au Moyen-Orient (est-ce une coïncidence ?). Or il semble bien que l'ensemble de la planète ait été cartographié.

De plus, il faut souligner le fait que ce ne sont pas seulement des cartes côtières, car on y trouve également les chaînes montagneuses à l'intérieur des continents avec leurs altitudes ! En plus d'être de fameux marins, ils devaient également être de sacrés explorateurs.


La mythique Atlantide n'est peut-être pas un mythe

Cette civilisation inconnue a disparu. Elle a transmis, sans doute aux Egyptiens, des bribes de ses connaissances mais pas son savoir-faire... Etaient-ce les Phéniciens, les Crétois ? L'hypothèse de la légendaire et si controversée Atlantide ne mériterait-elle pas d'être réexaminée ?

Nous avons tendance à ne comprendre la civilisation que comme un phénomène global, or ce que nous savons de l'antiquité nous montre que la connaissance n'était pas partagée, mais réservée à une élite dirigeante dont le pouvoir était justement assis sur cette supériorité. Etait-ce là aussi un héritage de cette civilisation qui, contrairement à nous, n'a pas voulu exploiter de manière intensive les ressources de notre Terre nourricière, pour des raisons religieuses par exemple ?


Une connaissance gardée secrète par des Initiés

Tout autour du globe ont émergé des impossibilités d'ordre métallurgique. Elles ne sont pas forcément magiques, mais souvent très en avance sur leur temps, quoique quelques-unes de ces découvertes résistent encore et toujours à « l'analyse rationnelle ». Sont-elles le fait d'alchimistes inspirés, d'orfèvres exceptionnels, ou bien d'une technologie mystérieuse issue d'une connaissance gardée secrète par des Initiés ? En tout cas, cela devrait inciter les préhistoriens à revoir la chronologie de leurs fameux âges du bronze, du cuivre etc.

Ainsi le fameux pilier de Delhi qui ne rouille jamais. Nous avons donc là, avec ce pilier, un parfait exemple d'une connaissance perdue puis retrouvée... C'est la Science que l'on aime, celle qui cherche... humblement... car il faut accepter le fait que nous avons encore beaucoup de choses à apprendre des anciens.

Il faut se souvenir de la remarque de l'écrivain francais Joseph Joubert (Montignac-le-Comte, 1754 - Villeneuve-le-Roi, 1824) : « Rien ne rend les hommes plus imprudents ou plus présomptueux que l'ignorance du passé et le mépris des vieux livres ».